The overall purpose of the GWP/INBO handbook is to provide a practical guide to practitioners for the application of IWRM principles and practices at the river basin, lake and aquifer level. The handbook was launched at the 5th World Water Forum in Istanbul (March 2009).
Il existe un lien très fort entre l’approche intégrée, une bonne gouvernance de l’eau et le financement mais jusqu’à présent il y a eu peu de discussion à propos de cette relation. Ce document (147KB) vise à réunir ces différents courants pour l’adoption d’une approche du financement de l’eau plus coordonnée et cohérente. Elle se concentre sur le besoin de financer les fonctions essentielles des ressources en eau telles que la sécurité et la durabilité.
The French version.
Trop souvent, la contribution de l’eau aux objectifs globaux de développement n’est pas bien comprise au niveau politique en dehors du secteur de l’eau, et, par conséquent, les actions nécessaires pour valoriser cette contribution ne sont pas identifiées ni définies comme des priorités. Pour remédier à cette situation, la contribution de l'eau à différents secteurs de la vie sociale et économique doit être reconnue et une gestion judicieuse de l’eau doit figurer en bonne place parmi les priorités de ces secteurs. Pour ce faire, les acteurs du secteur de l’eau doivent avoir un rôle à jouer dans le processus de planification du développement national et local.
The French version.
Cette note politique suggère que l’approche de la GIRE fournit un cadre d’action ainsi qu’une meilleure démarche pour gérer l'impact du changement climatique sur l'eau c’est-à-dire celle guidée par la philosophie et la méthodologie de la GIRE. Un autre message promu par ce document est que l’eau est le premier intermédiaire au travers duquel le changement climatique influencera les gens, les écosystèmes et les économies. La façon dont nous utilisons et gérons nos ressources en eau aujourd’hui rendra, demain, plus facile la façon de faire face aux défis climatiques. Les stratégies qui seront adoptées devront utiliser une combinaison de mesures institutionnelles dites « dures » et « douces », devant d’aller au-delà de ce que l’on considère normalement comme «les problèmes hydriques ».