La chargée de réseau GWP-AO rencontre certains partenaires

La chargée de réseau (Senior Network Officer- SNO) du GWP Afrique de l’Ouest, Julienne ROUX a saisi l’occasion de son séjour à Ouagadougou du 17 au 20 Avril 2018 pour rencontrer et faire une meilleure connaissance avec certains partenaires stratégiques du GWP/AO. Avec le secrétariat exécutif elle a ainsi pu rencontrer les responsables du Centre de Coordination des Ressources en Eau (CCRE) de la CEDEAO et de la Direction Exécutive de l’Autorité du Bassin de la Volta (DE ABV).

Le 19 avril, en compagnie du secrétaire exécutif et de la chargée du PROGISAO, la SNO a été accueillie par M Mahamane TOURE, chargé de programme au sein du CCRE/CEDAO. Ce dernier a rappelé que le GWP-AO et le CCRE sont partenaires depuis la naissance du CCRE. Plusieurs initiatives ont été mises en œuvre de façon conjointe notamment l’élaboration de la politique régionale de l’eau de l’Afrique de l’Ouest adoptée en 2008. Actuellement, l’initiative conjointe qui est implémentée porte sur la mise en place de l’observatoire régional de l’eau de la CEDEAO en collaboration avec le DHI.

Des échanges préliminaires sont actuellement en cours pour faire ressortir d’autres pistes de collaboration. On peut citer entres autres la mise en œuvre du projet NEXUS et l’élaboration de lignes directives dans le domaine de la gestion intégrée de la sécheresse en partant du guide technique sur la gestion intégrée de la sécheresse (GIS) élaboré par le GWP-AO en collaboration avec l’AGRHYMET/CILSS.

La rencontre tenue le 20 avril à la DE de l’ABV a permis de faire le point des chantiers en cours et d’échanger sur les perspectives avec l’ABV. Le directeur exécutif en compagnie de son adjoint a signalé que les relations avec le GWP/AO sont très bonnes et s’intensifieront avec les projets futurs et présents notamment l’initiative sur la Gestion Intégrée des Crues dans le bassin de la Volta. Il a indiqué que les réflexions sont en cours pour une nouvelle initiative dans l’un des sous bassins de la volta. Elle devra se bâtir sur les acquis et leçons apprises du projet Mékrou, un projet financé par l’Union Européenne et dont la 1ère phase a pris fin en décembre 2017.