Il est important de créer un cadre institutionnel et réglementaire pour le développement des eaux souterraines. Le dialogue vise à soutenir cette démarche.
This Policy Brief summarizes the key messages towards the Rio+20 Conference. These messages derive from GWP work and experiences and include: the crucial role of water as a key driver in the green economy, the need for building more effective institutions to manage water better, especially at transboundary level, the ongoing need for integrated approaches, ensuring water security for the economy, for society and for the environment, and the political leadership and vision essential for overcoming fragmentation.
The French version.
Trop souvent, la contribution de l’eau aux objectifs globaux de développement n’est pas bien comprise au niveau politique en dehors du secteur de l’eau, et, par conséquent, les actions nécessaires pour valoriser cette contribution ne sont pas identifiées ni définies comme des priorités. Pour remédier à cette situation, la contribution de l'eau à différents secteurs de la vie sociale et économique doit être reconnue et une gestion judicieuse de l’eau doit figurer en bonne place parmi les priorités de ces secteurs. Pour ce faire, les acteurs du secteur de l’eau doivent avoir un rôle à jouer dans le processus de planification du développement national et local.
The French version.
Cette note politique suggère que l’approche de la GIRE fournit un cadre d’action ainsi qu’une meilleure démarche pour gérer l'impact du changement climatique sur l'eau c’est-à-dire celle guidée par la philosophie et la méthodologie de la GIRE. Un autre message promu par ce document est que l’eau est le premier intermédiaire au travers duquel le changement climatique influencera les gens, les écosystèmes et les économies. La façon dont nous utilisons et gérons nos ressources en eau aujourd’hui rendra, demain, plus facile la façon de faire face aux défis climatiques. Les stratégies qui seront adoptées devront utiliser une combinaison de mesures institutionnelles dites « dures » et « douces », devant d’aller au-delà de ce que l’on considère normalement comme «les problèmes hydriques ».